Comment faire de l'argent ?
L'argent et ce qu'il représente vraiment
Posté dans Sujets de société — le 15 janvier 2015
L'argent est « le nerf de la guerre ». C'est le centre de la majorité des raisons économiques, et donc, des raisons de la vie. C'est ce que l'on croit savoir. C'est ainsi ce qui guide la vie de bien des gens. C'est ce à quoi certains rêvent, même… Mais, l'argent, est-ce que ça fait le bonheur? C'est un trésor? La réussite, c'est d'en avoir accumulé plein? Regardons cela de plus près.
Ce qu’est l’argent
L’argent n’est rien. Seulement du papier ou des chiffres dans un ordinateur. L’argent n’est rien. Seulement du papier ou des chiffres dans un ordinateur.
Deux fois plutôt qu'une, il faut vraiment s'imprégner de cette idée. Pour comprendre le monde, il faut se rappeler de ça.
L’argent n’est pas un trésor, il n’a pas de valeur, il ne représente qu’un montant de quelque chose, une quantité de quelque chose.
Il représente seulement la quantité de ce que je peux recevoir ou donner pour quelque chose.
L’argent est une médiation (une méthode de rendre indirect ce qui serait sinon direct) qui entre dans une interaction (une « transaction ») entre deux partis ou individus ou groupes : que ce soit des personnes, des entreprises, des États, des institutions, etc.
Mais la question, c’est : l’argent c’est RÉELLEMENT une quantité de quoi ?
Là où ça devient indirect, c’est que la quantité de ce quelque chose est assimilée à la quantité de monnaie.
Mais une pile d’argent … représente la quantité de quoi ?
Un auteur a écrit l’œuvre majeure « Le Capital » en économie (œuvre dans laquelle il décrit ce qu’est le Capital et le capitalisme, et comment concrètement ce système est mis en œuvre, et est vécu par ceux qui en font l’expérience). Cet auteur est Karl Marx, aussi considéré comme un des pères du socialisme (même communisme). Bien que Marx est souvent reconnu pour être l’un des fondateurs du communisme, il fait l’étude serrée du capitalisme (et non du communisme) dans le livre Le Capital. Il est donc un théoricien sérieux au sein des économistes capitalistes. Marx a dit que la monnaie est du travail cristallisé. La monnaie serait une unité de mesure du travail accompli (ou dans le cas de la dette : à accomplir).
Mais la vraie valeur de l’argent est uniquement celle qui est rattachée au travail : au taux de productivité et à la disponibilité des ressources naturelles et de quantités d’énergie disponibles afin de transformer ces ressources naturelles via le « travail-humain » et le « travail-machine », en « richesses », donc en certains produits finis du secteur primaire secondaire ou tertiaire…
Donc, l’argent est un médiateur. L’argent n’est pas un trésor.
Dans l’esprit de la majorité des individus qui s’en servent, l’argent est déconnecté de ce qu’il représente vraiment : un travail (une modification de la réalité nécessitant de l’énergie) qui transforme la nature en « richesses » selon des quantités de ressources énergétiques et naturelles de base.
On évolue dans une société où on fait croire aux individus que ramasser de grandes quantités d’argent est bien : c’est ça la réussite. C’est acquérir un statut social et un confort de vie et d’épanouissement certain.
Mais c’est faux. Malheureusement, c’est oublier ce que représente fondamentalement l’argent.
L’argent est le fluide de communication dans le corps social
L’argent est comme le sang dans un corps. Il circule dans tous les membres et partout où il peut dans le corps social (le « corps social », c’est tous les gens d’une société) pour amener le nécessaire à toutes les personnes pour pouvoir vivre (donc une maison, des vêtements, de la nourriture et des nutriments équilibrés afin de rester en santé, les soins essentiels, etc.)
Tous les individus composant ce corps social ont besoin d’être alimentés par un peu de ce fluide communicationnel. Il est un fluide communicationnel dans le sens qu'il envoie un message là où il passe. Ce message est un message d'activation. Sans argent, pas d'activation possible de cette zone du corps social. L'économie ne fonctionne pas normalement dans un endroit de la société où il n'y a pas d'argent qui circule. C'est de cette manière qu'il est un fluide de communication.
Mais en quoi l’argent est-il un fluide communicationnel ? En ce que n’importe quel individu doit avoir de l’argent pour ACHETER un peu de nourriture, ou de vêtements, ou sa propriété (maison).
L’argent permet d’activer des projets, ou désactiver des projets.
Chaque individu a besoin, dans le système social, d’avoir accès à une quantité certaine minimale d’argent pour pouvoir subvenir à ses besoins fondamentaux. Avec seulement une petite quantité d’argent, la préoccupation financière chez l’individu sera constante et le stress lié à cette préoccupation le minera et le grugera, voire le rendra malade physiquement et mentalement. Et… le désactivera considérablement en ce qui concerne la mise en œuvre de projets. Il sera à la base de la « Pyramide des besoins de Maslow » : le niveau des besoins de survie, les besoins physiologiques. Cet individu ne vivra pas réellement, il survivra. Il ne se réalisera pas.
La Pyramide de Maslow
Figure : Voici la pyramide de Maslow. Le niveau de base, sur lequel se bâtit le reste de la personne humaine, est le niveau physiologique.
Inversement, une fois que les besoins fondamentaux sont bien remplis (ce qui représente un montant assez fixe, en 2014, qui est d’environ 25 000$ par personne sans enfants), le restant devient du « superflu ».
Lorsqu’on gagne 26 000$, on a donc 1 000$ à mettre dans du superflu : voyages, restaurants, grossissement de la maison ou de la voiture, etc. Lorsqu’on gagne 200 000$, on a dès lors 175 000$ (200 000 – 25 000 = 175 000) à mettre dans du superflu : voyages, restaurants, énorme maison ou voiture, etc. Non seulement on n’a plus du tout peur pour nos finances, mais cela ne nous préoccupe pas tellement personnellement. Et on peut s’adonner à des projets la tête calme.
Mais pour les personnes qui n’ont pas beaucoup d’argent, le stress de ne plus être certain de pouvoir assurer le logement le mois prochain devient une angoisse extrêmement destructrice et qui draine beaucoup d’énergie en soi.
Les inégalités de distribution de l’argent dans la société
Le problème des inégalités financières est un problème réel, surtout parce que l’éducation que la société envoie dans les cerveaux des citoyens de la société ressemble à ceci : « L’argent est un trésor, le but est d’en avoir le plus dans tes poches personnelles, pour devenir riche ou rester riche, et avoir une belle vie, confortable avec des voyages, des grands restaurants, de beaux vêtements et des amis tout aussi riches que toi, qui sont beaux, sentent bon et qui vont à des belles soirées de lancement VIP et des jet privés, avec des cartes de crédit Platine ou Black, avec les célébrités, etc. » Ceci serait le sommet de l’image de réussite qu’on tente de nous visser dans la tête, environ.
Même si on n’adhère pas à cela et qu’on ne veut pas directement accéder à ce genre de vie, il est relativement rare qu’on se dise : « ces gens sont une bande de perdants intégraux et je les plains totalement. » Si certains n’envient pas du tout les gens riches, célèbres et qui connaissent le luxe, il est rare de les considérer comme « les perdants », comme ceux qui ont la vie la plus répréhensible, la plus haïssable. Non. On leur préférera les pauvres sur ce point.
Et pourtant, il faut comprendre quelque chose en ce qui concerne les inégalités de distribution de la monnaie:
La quantité totale d'argent, dans le monde ou sur un territoire national, est disponible, en un temps fixe, en quantité finie (non-infinie), donc limitée.
Ça veut dire que l’argent est distribué entre tous les gens, de façon limitée, et que, si on veut faire une image concrète et facile à comprendre, on pourrait dire que : l’argent est comme l’eau dans une piscine, et que les gens dans la société sont tous dans la piscine. (C’est une grosse piscine… disons une grande piscine olympique) Ce qui arrive avec les inégalités sociales, c’est que certaines personnes, très riches, ont beaucoup beaucoup d’eau dans la piscine. Certains autres, la classe moyenne ou les pauvres, ont seulement une goutte de toute l’eau de la piscine. Donc les très riches, parfois, seraient même environ 3-4 dans la moitié de la piscine, alors que le restant des gens, disons 20 000 personnes, se partagent le restant de la piscine, l’autre moitié. Et réellement, les pauvres ont presque rien. Le seul problème, là-dedans, c’est que comme on le disait plus haut, quand quelqu’un fait moins que 25 000$ par année, cette personne commence à être très stressée physiquement et mentalement pour sa propre survie de base.
Cette situation, si l’argent total dans la piscine, était distribué plus également, c’est vrai que les riches seraient moins riches, mais ils pourraient encore vivre dans le luxe, sauf que les pauvres pourraient au moins tous manger à leur faim.
Ce qu’on peut donc conclure ici, c’est que : quand j’ai beaucoup d’argent (très riches), cet argent que j’ai beaucoup, c’est une cause de ce que quelqu’un dans la société en ait moins.
La richesse de quelques-uns cause donc mathématiquement la pauvreté de beaucoup d’autres.
Et c’est pour cette raison qu’être riche est un problème moralement.
C’est aussi pour cette raison que les riches ne sont pas tellement respectables. La réussite dans la vie, ce n’est pas de faire des tas d’argent, mais plutôt amener son coup de pouce à la société pour la rendre meilleure. Et une société meilleure, c’est sûrement une société où tout le monde puisse manger à sa faim, handicapé ou pas, traversant des coups durs ou pas. Surtout, et ce surtout, dans une société ultra-productive (où au moins le tiers de la nourriture est jeté aux ordures pour cause d'invendus).
«Oui mais.. les riches ont mérité leur tonne d'argent»
En un ou deux paragraphes, voici la vérité quant à cette idée souvent bien ancrée dans les esprits... et à la lumière de ce qu'on a dit plus haut au sujet de ce qu'est l'argent. On ne redonnera pas ici les grands arguments de la critique du capitalisme, avec la lutte des classes entre le Capital et le Travail, etc.
Disons simplement ceci: souvent, quand quelqu'un fait beaucoup d'argent, il n'est pas employé, mais entrepreneur, et ou ayant fait de grandes études, ou provenant la plupart du temps de familles et milieux aisés dans la vie. Ce sont des gens qui sont nés au bon moment, à la bonne place, et qui ont eu, pour la plupart, un certain scénario déjà donné à leur naissance de par la famille où ils sont nés. En effet, quand on observe dans la société ce qu'on appelle la mobilité sociale (la possibilité de changer de classe sociale, donc de passer de la classe moyenne à la classe riche, ou vice versa), elle est d'environ 5% (environ 1 personne sur 20 est touché par la mobilité sociale). Ça veut dire que quand on naît riche, on crève très souvent riche... Quand on naît pauvre, on crève pauvre, et etc.
Maintenant, une fois qu'on a parlé de la mobilité sociale, pensons à la contradiction suivante : on dit souvent aux gens que faire de longues études est souffrant et que ça justifie un gros salaire après le diplôme. Bon. Mais, prenons un exemple simple: les études en pharmacie. Cela, après le cégep, représente 4 ans d'études seulement, avec bien sûr beaucoup de crédits à effectuer à chaque session d'étude. Mais 4 ans plus tard, on commence déjà avec un salaire qui est d'environ 70 000$ par année, dans un espace intérieur climatisé propre, avec un certain statut social reconnu. Pour information, 70 000$ est environ le double du salaire moyen (30 000$) ici, et presque le quadruple du seuil de la pauvreté (19 000$). Et comme on le disait plus haut (70 000 - 25 000 = 45 000), ce serait environ 45 000$ pour du superflu. Bref, pour toucher ce salaire, cette personne en pharmacie se justifiera en disant qu'elle a beaucoup souffert durant ses études, et que donc, elle mérite ce salaire. Elle est pourtant payée avec d'autres indicateurs sociaux: la reconnaissance sociale et le statut social valorisants, et un bon niveau de confort au travail, avec capacité de travailler sans compromettre dangereusement sa santé jusqu'à des âges avancés. Maintenant, quand on pense à quelqu'un qui a arrêté ses études vers la fin du secondaire, et donc n'a pas de diplôme d'études supérieures (technique ou universitaire), cette personne sera automatiquement, en moyenne, moins payée, ayant accès à des emplois moins valorisants, voire destructeurs psychologiquement. Pourtant, c'est une personne comme n'importe qui, et fondamentalement, d'un point de vue humaniste, les heures de sa vie sont tout aussi importantes que les heures de la vie de n'importe qui d'autre. Du moins, pour avoir le droit de vivre décemment (avoir un salaire au moins en haut de 25 000$ par année.)
C'est ici l'important de ce point : ceux qui sont riches ont souvent des vies beaucoup plus valorisantes, et aussi, plus faciles que ceux qui sont dans la classe pauvre ou la classe moyenne. Tout le monde a un parcours de vie qu'il a plus ou moins choisi, et souvent, pas choisi tellement. Considérant cela, un riche n'a pas mérité son argent, ni un pauvre. Souvent, les accidents de parcours font que quelqu'un pourra tomber, non plus dans la pauvreté, mais dans la misère noire. Ceci étant dit, donc, aucun riche ne pourrait excuser d'avoir autant d'argent en disant que, lui, il l'a bien mérité, et donc que tout le monde a à faire comme lui, et que dans le fond, ils sont pauvres parce qu'ils sont paresseux et qu'ils ont pas assez fourni de travail. Ce modèle du "self-made-man" intégral est une exception totale dans la nature, et ne saurait en rien excuser quoi que ce soit. Les riches doivent absolument comprendre cela. Ils sont nés à un endroit privilégié et il faut qu'ils se mettent dans la peau de ceux qui ont moins eu de chance, pour comprendre qu'il est important que les inégalités sociales restent dans des seuils acceptables. (Aujourd'hui il y a des patrons qui gagnent 100 fois le salaire de leur employé moyen... Juste en 2015, les plus grands PDG dans le monde ont gagné le salaire de leur employé moyen, soit environ 50 000$, dès midi le 1er janvier. Il leur a fallu environ douze heures.)
Petite question enfin ici: Comment une heure de la vie de cet homme pourrait valoir 100 fois celle d'un autre homme? 2 ou 3 fois, peut-être... mais 100?
Comment faire de l’argent
Comment les gens font de l’argent ? Il n’y a pas beaucoup de façons, en fait.
Méthode « niveau 0 »: Avant le 1er niveau, cette méthode est « quêter ». Elle permet aux plus démunis de récolter plus ou moins d’argent directement dans la rue. « Avez-vous un peu de monnaie pour manger ? »
1ère méthode : La grande majorité des personnes font de l’argent en vendant leur force de travail personnelle en se faisant « employer » par des entrepreneurs qui leur paye en échange de leurs heures de vie. Plusieurs sont payées au salaire minimum, ou presque (15$ de l'heure se rapprochant beaucoup du minimum légal.)
2ème méthode : Avoir une idée d’une offre capitaliste viable (d’une invention ou non), partir son entreprise et faire en sorte de développer une demande. Cela donne la plupart du temps des PME, ou parfois des nouvelles grandes entreprises.
3ème méthode : Se prendre des portefeuilles financiers déjà préchoisis (CELI, REER, portefeuille, etc.) avec un planificateur financier. Avoir des titres sans les choisir.
4ème méthode : Devenir vraiment rentier. Connaître les cours en bourse et investir. Savoir quand vendre et quand acheter des titres, selon les cours et les tendances.
5ème méthode : Avoir accès à des subventions étatiques (prélevées sur les impôts et les taxes), selon l’admissibilité de notre activité productive.
6ème méthode : Des études professionnelles libérales. (Médecine, droit, etc.)
7ème méthode : Avoir accès à des réseaux professionnels ou du réseautage.
8ème méthode : Créer l’argent soi-même en se partant une banque en sécrétant de l’argent-dette par des prêts aux particuliers, etc.
Voici les échelons, en gros, des façons de faire de l’argent.
À noter ceci : ces façons de faire de l’argent ne sont pas connues ou pratiquées par toutes les couches de la société. Le savoir n’y est pas pour les classes pauvres et classes moyennes, mais aussi souvent les moyens de le faire.
Ainsi, la classe pauvre est massivement limitée au niveau 1. La classe moyenne est massivement limitée aux niveaux 1 à 3. Peu de personnes de la classe moyenne passent au niveau 4.
Le niveau 5 (les subventions), sont souvent offertes aux projets artistiques, de recherche ou aux organisations, donc peu accessibles à la classe moyenne généralement, sauf peut-être par leurs PME.
Le niveau 7, avoir accès aux réseaux, est quelque chose d’assez rare, et quand cela se produit, on peut passer de la classe moyenne à la classe riche.
Le niveau 8 est très rare, mais lorsqu’on se part une banque et que ça fonctionne, on peut devenir riche très rapidement et très massivement. L’usure (prêt à intérêt) rapporte.
Qu’est-ce que cela veut dire ?
On semble observer ici que plus les gens manipulent ou créent l’argent, plus ils en retirent un gros salaire. À l’inverse, plus les gens sont loin des travaux de manipulation et création de l’argent, plus ils ont de la difficulté à en avoir. Mais d’autre part, plus ces gens, la classe moyenne, sont ceux qui sont « employés » d’entreprises, donc se trouvent à des postes de production réelle : chaînes de production d’usines, tables de travail, etc., moins ils touchent d'argent.
Or, en économie, comme on l’a dit avant, la monnaie est un fluide communicationnel, comme le sang dans le corps. Il permet aux parties du corps, donc de la société, de s’activer et de vivre. N’est-ce pas étrange que les gens qui sont le plus réellement productifs au regard des besoins primaires dans le corps social soient ceux qui sont le moins payés ? Les producteurs de nourriture, de vêtements, de logements… Ceux qui permettent à tout le monde de répondre aux besoins urgents de tout le monde. Sans eux, on mourrait de faim et de froid.
C’est donc important de comprendre, même si la société, dans sa structure, favorise une distribution des salaires inégale selon les positions sociales et les types de professions, que chaque personne a un rôle important.
D’autant plus dans une société ultra-productive. Sur ce point, lire l’article à paraître « La fin du travail : la société ultra-productiviste »
Conclusion Synthèse
Vous savez maintenant qu'est-ce que l'argent est fondamentalement. Il n'est pas un trésor, ni un coffre fort plein de pierres précieuses, comme dans les films fantastiques. L'argent est un fluide communicationnel, et son but est de circuler assez équitablement dans tout le corps social. Quand l'argent cesse d'atteindre certaines parties du corps social, ces parties sont en grandes difficultés de survie. Difficultés pour manger, se vêtir, se loger, et répondre aux besoins de base (Maslow). Aussi, quand quelqu'un est très riche, logiquement, il doit enlever, en quelque sorte, de l'argent à d'autres pour le concentrer sur lui. Il favorise donc la pauvreté d'autres personnes. C'est pour cette raison que vous devriez vous modérer quand vous vous dites que vous aimeriez tant être tellement riches, alors que les gens autour de vous, eux, vont demeurer tellement pauvres. En étant riche, la classe riche crée la classe pauvre, c'est une logique simple de distribution. Et parallèlement à tout cela, vous connaissez aussi les grandes méthodes de faire de l'argent.
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